Où en fait je n'ai pas grand-chose à en dire.
Hier, j'évoquais mon envie de parler du roman 50 nuances de Grey, disponible dans toutes les pharmacies - euh, sex shops.
Aujourd'hui, l'envie m'en est passée, mais je vais en dire deux mots quand même, une promesse étant une promesse.
Je n'ai pas eu envie de l'acheter, donc j'en ai lu 50 pages debout dans la librairie (c'est mal, mais je n'ai pas regretté l'économie). Les fans (que je respecte bien évidemment, même si je ne les comprends pas) me diront peut-être : 50 pages, ce n'est pas assez. Ouuuuuh lala si, c'était bien assez !
Donc, pour ne pas en parler, comme promis : le style est vraiment lourd, à grands renforts de "Bébé", de désir et de jouissance, et de lieux communs navrants. L'histoire est sublime et originale comme toutes celles de la collection Harlequin ( Non ?! Ce n'est pas Harlequin l'éditeur ??). Les personnages me dépriment au possible, caricaturaux et absolument pas attachants. Crédibilité, immersion dans le livre, auto-assimilation à un personnage, excitation, plaisir et autres perversions qu'on peut attendre de la lecture d'un livre : 0.
Voilà, ce sera tout. Maintenant, je ne suis pas (qu')une sale pignouf qui critique tout (et surtout les bouquins en tête de gondole) et qui n'aime rien : par exemple, Harry Potter, c'était une saga bien écrite et agréable à lire. Je m'attaque à Joël Dicker, La Vérité sur l'Affaire Harry Québert, et je vous en donnerai des nouvelles.
PS : Je suis désolée d'être peut-être trop virulente, mais ce genre de bouquin qui devient LE best-seller sans aucune raison si ce n'est qu'un peu plus de cul accompagne l'écriture cucul, ça me saoûle.